Katherine M. Pierce
ADMINISTRATRICE - ATTENTION ! JE MORDS
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| Sujet: Qui es-tu || Enzo A. Salvatore Jeu 8 Mar - 15:36 | |
| Encore une pitoyable journée en compagnie de nul autre que Klaus. J'avais bien aimé cette nuit, car il n'avait pas été présent. Stefan et lui avaient eu affaire en ville, j'étais un peu l'esclave, donc ils ne me disaient rien. J'avais faim et j'entendais ma soif au moment où ils rentrèrent ce matin vers cinq heures. Stefan n'avait plus du tout de sensibilité et se foutait bien de ce qu'il pouvait m'arriver, même avant qu'il n'ai rejoint les rangs du dangereux Klaus, il me détestait.
Ils étaient rentrés en s'esclaffant, Rebekah n'était pas là, c'est donc là que j'ai voulu m'enfuir pour manger. Avec ma vitesse, je courus jusqu'à la porte, mais mon "maître" me rattrapa par la gorge. « Tu veux déjà nous quitter Katherina ? » Je le regardais dans les yeux, n'attendant qu'il ne m'hypnotise comme il le faisait toujours. Stefan me regardait à ses côtés et je ne pus faire autre chose que de le regarder à mon tour avec pitié. Malheureusement, Klaus attendait une réponse, car il ne faisait rien. Je réussis donc à murmurer un : « J'ai faim ! »
Sa poigne se détacha et je caressai l'endroit où il m'avait serré. Il pénétra mon esprit en murmurant d'une voix calme : « Je te donne une heure pour aller faire tout ce que tu veux. Dans une heure, tu seras sur le seuil de cette porte. » Sans plus attendre je partie, il fallait que je sorte de cet endroit de malheur. Je décidai d'aller donner des nouvelles à Damon, mais avant, je devai me nourrir.
Sans plus attendre, j'allai droit vers les abords des forêts, attendant qu'un passant passe. Malheureusement, personne ne vint et quand je jetai un coup d'oeil à ma montre, il ne restait environ que cinquante minutes. Il n'y avait plus de temps à perdre et de toute façon, il y avait des poches de sang dans le congélateur Salvatore.
Je pénétrai dans le manoir. « Damon ? » J'étais en mauvaise état, mais je devais manger. J'arrivai dans le salon, là où quelqu'un était assis sur le canapé à lire un livre. « Alors toujours rien à faire de ton existence ? »
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